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dimanche 23 septembre 2007

Un week-end sans enfants... ou presque

Après un week-end avec enfants, suit un week-end… avec enfants.
On ne va pas s’en plaindre non plus, non, c'est pas ça.

Une remarque tout de même. Dans une famille « classique » (j’ai failli dire normale !!), les enfants s’adressent à l’un ou l’autre des parents, ça permet de se relayer un peu (vous n’êtes pas d’accord ? il faut en parler à votre conjoint alors, il devrait vous aider !).
Dans une famille recomposée, dans 90% des cas, les enfants s’adressent à leur parent. Ce qui fait que l’on est sur la brèche tout le temps. C’est plus intense, et plus fatigant aussi.
Alors évidemment – et soyons honnêtes – nous aimons bien le week-end où nous sommes seuls. Ça n’empêche pas d’adorer ses enfants !!

Donc, vendredi soir mes petits chéris sont partis chez leur mère mais mon amie avait ses filles (leur père voulait reprendre une activité sportive et elles ne voulaient pas rester avec l’amie de leur père… no comment). Samedi après midi, le père a repris ses enfants et les miens sont revenus car leur mère avait une soirée (c'était prévu, j'étais d'accord - d'accord pas pour sa soirée, pour reprendre les enfants).

Depuis 18h00, nous sommes à nouveau seuls, en couple (j'ai déposé mes petits chéris en deux fournées - Fille ado n'avait pas finie son travail sur un des ordinateurs de la maison). Nous avons pu mettre de la musique, et l’entendre !

Finalement, tout ce mouvement occupe bien (je rentre, tu sors, je repars, ils arrivent, ils s'en vont...). Bon, le projet d’aller au cinéma est tombé à l’eau…pas grave en soi. Mais...

...Une chose dont nous avons pris conscience, nous le jeune couple (jeune couple avec 6 enfants…), c’est de faire attention à ne pas nous enfermer dans une routine. Le risque est là. Enfants, rythme d’enfer puis week-end pour souffler. Il faut que nous sortions plus, malgré la fatigue. Voir plus d’amis aussi (il faut que nous arrivions à mélanger nos amis communs).

C’est quand tout va bien qu’il faut prendre soin de son couple, après, c’est trop tard…

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