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mercredi 31 octobre 2007

Journal de bord de l’équipée à Paris, cinquième jour.

C’est clair, j’ai perdu l’habitude. Perdu l’habitude de la foule qui court, qui fonce, qui bouscule, du métro, du bruit, de l’odeur… Certes, la vie culturelle est riche mais c’est bien tout. Je ne vais pas critiquer Paris, j’aime cette ville mais… en août !!

Les enfants sont ravis. Musée du Louvre, Invalides, Cité des Sciences, Cité nationale de l’histoire de l’immigration, Beaubourg (pardon « Centre Georges Pompidou »), les Halles…
Ils ont épuisés, ont mal aux pieds mais sont heureux. Je ne parle même pas du fait de partager repas et soirée avec mon oncle, ma tante et ma cousine, c’est la cerise sur le gâteau. Ce sont des divinités mes enfants ici.

Ce qui est épatant, c’est que quand ils parlent de leur mère, il n’y a pas de phrases assassines qui fusent : c’est un progrès. Je pense que ma cousine n’y est pas pour rien. C’est tellement mieux de ne pas mêler les enfants aux histoires des parents.

Nous rentrons un jour plus tôt que prévu. Je dois les déposer chez leur mère et revenir vendredi pour les obsèques.

Comme c’est agréable de les avoir pour moi tout seul mes enfants. Si j’osais je dirais que c’est un avantage indéniable de la séparation. Si j’osais… j’ose !!

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